En tant que thérapeute holistique je me fais souvent demander par ma clientèle ce que je pense des médicaments et vaccins.
Malgré mon côté très intuitif et émotionnel, mon côté cartésien et logique est toujours très présent. Selon mes archétypes, je ne suis pas surprise d’avoir un beau mélange 50/50, surement pour cette raison que j’ai ce besoin d’entreprenariat et de thérapeute également.
Je me suis intéressée à la médecine holistique dès la fin de mon adolescence afin de comprendre les causes et trouver des pistes de solutions préventives à la maladie. La massothérapie et l’Ayurvéda ont été mes outils de femme médecine à utiliser pour moi et ma clientèle. J’ai aussi intégré l’approche énergétique Tzifa afin d’aller encore plus en profondeur sur des causes inconnues que notre cerveau ne peut pas toujours analyser et traiter autrement par l’énergie magnétique et vibratoire.
Il semblerait que nous utilisons pas la pleine capacité de notre cerveau et que l’être humain est en constante évolution, nous vivons présentement de grands changements aussi grands que lorsque l’humain a passé d’homo sapiens à aujourd’hui, mais au niveau vibratoire et énergétique.
Je crois sincèrement que les deux médecines doivent travailler ensemble et non l’une contre l’autre. Les problèmes d’épidémie et maladies génétiques en sont la preuve et jamais je ne refuserai d’entendre et d’analyser ce que la science a à nous offrir.
Le choix du vaccin ou prise de médicaments est un choix personnel, d’éthique et intuitif. Je recommande donc d’écouter sa petite voix intérieure, ne pas entrer dans la peur ou les blocages de l’enfance (peur du contrôle) pour prendre des décisions éclairées.
Nous avons certainement encore beaucoup à apprendre et la science est en constante recherche pour améliorer la qualité de vie sur terre. La différence est que les finances sont utilisées dans ses recherches scientifiques contrairement à nos approches holistiques.
Avec toute ma bienveillance
Maryse
Voici un résumé au fil des ans
La médecine a vécu une révolution à partir du xixe siècle en raison des progrès de la chimie et des techniques de laboratoire.
Les bactéries et les micro-organismes ont été observés pour la première fois au microscope par Antoni van Leeuwenhoek en 1676, ce qui a ouvert le champ à la microbiologie82. En 1847 Ignace Philippe Semmelweis (1818-1865) a réduit de façon spectaculaire le taux de mortalité par fièvre puerpérale chez les mères admises à la maternité en exigeant simplement des médecins qu’ils se lavent les mains à l’eau de chaux avant d’assister les femmes dans leur accouchement.
Sa découverte préfigurait celle de la théorie des germes. Cependant, ses recommandations n’étaient pas appréciées par ses contemporains et elles n’ont été mises en œuvre et généralisées qu’avec les découvertes du chirurgien britannique Joseph Lister qui, en 1865, a énoncé les principes de l’antisepsie dans le traitement des plaies. Cependant, le conservatisme médical face aux percées de la science empêcha ses travaux d’être réellement appliqués avant la fin du xixe siècle.
Après la publication par Charles Darwin en 1859 de L’Origine des espèces, Gregor Mendel (1822-1884) a publié en 1865 ses livres sur la transmission des caractères génétiques des pois, découvertes qui seront connues plus tard sous le nom de Lois de Mendel. Redécouvertes au tournant du siècle, elles constituent la base de la génétique classique. La découverte de la structure de l’ADN en 1953 par Crick et Watson ouvrira la porte à la biologie moléculaire et à la génétique moderne. À la fin du xixe siècle et au début du xxe siècle plusieurs médecins, comme le prix Nobel Alexis Carrel, ont apporté leur soutien à l’eugénisme, une théorie formulée en 1865 par Francis Galton. L’eugénisme a été discrédité en tant que science quand ont été connues les expériences du régime nazi allemand pendant la Seconde Guerre mondiale, mais des programmes de stérilisation forcée ont encore été appliqués longtemps après dans les pays modernes (y compris par les États-Unis, la Suède ou le Pérou). Les travaux de Semmelweis ont été renforcés par les découvertes de Louis Pasteur. En établissant un lien entre la maladie et les microorganismes, Pasteur a provoqué une révolution en médecine. Il a également inventé avec Claude Bernard (1813-1878) le procédé de la pasteurisation encore en usage aujourd’hui. Ses expériences ont confirmé la théorie des germes. Claude Bernard a œuvré à appliquer la méthode scientifique à la médecine, il a publié Une Introduction à l’étude de la médecine expérimentale en 1865. À côté de Pasteur, Robert Koch (qui a reçu le prix Nobel en 1905) a fondé la bactériologie. Koch était également célèbre pour la découverte du bacille tuberculeux (1882) et du bacille du choléra (1883) et pour l’élaboration des postulats de Koch. La participation des femmes aux soins médicaux (en dehors du rôle de sages-femmes, d’assistantes et de femmes de ménage) a été initiée par des gens comme Florence Nightingale. Dans une profession précédemment dominée par les hommes, ces femmes ont joué un rôle dans les soins infirmiers afin de réduire la mortalité des patients due à un manque d’hygiène et à un défaut de nutrition. Nightingale a mis en place l’hôpital St Thomas, après la guerre de Crimée, en 1852. Elizabeth Blackwell a été la première femme à étudier et par la suite à pratiquer la médecine aux États-Unis.
Bacteria (PSF).
C’est à cette époque qu’ont été développés de véritables remèdes contre certaines maladies infectieuses endémiques. Cependant, le déclin de la plupart des maladies mortelles est davantage lié à l’amélioration de la santé publique et de la nutrition qu’à la médecine qui continue à employer les cautères, scarifications et sétons83. Ce n’est pas avant le xxe siècle que l’application de la méthode scientifique à la recherche médicale a commencé à provoquer plusieurs innovations importantes dans le domaine médical, avec de grands progrès en pharmacologie et en chirurg